dimanche 4 septembre 2016

The Sunny Sunday Sunalee Show #SeasonFinale

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Sauf bouleversement de dernière minute, nous y sommes : l'ultime édition du Sunny Sunday Sunalee Show 2016, avant la reprise du Golbeur en séries usuel. Franchement, je ne sais pas vous, mais en ce qui me concerne je suis bien content que cet été de séries se termine. On s'est pas mal fait chier, vous ne trouvez pas ? Je n'aurais pu choisir plus mauvaise année pour lancer cette rubrique. Il n'y avait tellement rien à regarder que je suis à jour sur BrainDead, ai maté Outcast en entier... et même repris Modern Family. Ça vous situe le niveau de déliquescence télévisuelle dans lequel j'ai baigné durant ces deux mois et demi. Heureusement, tout cela est fini. Halt and Catch Fire est de retour (on en parle bientôt), Masters of Sex ne pourra pas faire plus foireux que l'an dernier, American Horror Story a eu l'excellente idée de revenir plus tôt cette année et aussi incroyable que cela puisse paraître... il y a plus de deux nouveautés que j'ai l'intention de regarder cet automne (je ne dis pas ça uniquement parce que la moitié du cast de Community s'apprête à faire son comeback). Finalement, le seul reste d'été à l'heure actuelle, c'est la mé... ah mais, il fait tout moche, aujourd'hui ! C'est sûr, cette fois : c'est la rentrée !


C'EST CHAUD !

👍 DARK MATTER (saisons 1 & 2) Il m'a fallu un moment pour réaliser ce que j'avais sous les yeux. C'est évidemment Androïde qui m'a mis sur la voie, tant la référence était transparente : en vrai, Dark Matter est un remake space-opéra de Salut les musclés. Androïde est, donc, Hilguegue, il faudrait être aveugle pour ne pas s'en apercevoir. Les deux autres filles sont Hélène et Justine, celle qui chouine tout le temps et s'inquiète pour tout le monde et celle qui, un peu chaudasse sur les bords, se comporte comme une fille unique alors qu'elle a une sœur. One est évidemment Bernard Minet, toujours à pleurnicher lorsqu'il n'est pas en train de chercher où il a rangé sa virilité. Three est Framboisier, cela se passe de commentaires. Six est Éric, le gars aussi baraqué que jovial. Il n'y a que pour Four que j'hésite, mais je pencherais tout de même plutôt pour René l'introverti. Bon, sinon, Dark Matter est une sympathique série de SF, plutôt divertissante et somme toute idéale à cette période de l'année, ne serait-ce que parce qu'elle fait germer de drôle d'idées méta lorsqu'on la regarde. A noter que le début de la saison 2, qui multiplie le budget par 268, a de quoi provoquer des crises d'épilepsie puisqu'y apparaissent subitement plein de figurants, des costumes, et même des effets spéciaux datant d'après l'éclatement du bloc soviétique. Un choc esthétique évidemment comparable, toutes proportions gardées, au passage de Salut les Musclés à la Croisière Foll'amour.

👍👍👍 FEAR THE WALKING DEAD (saison 2) Il y a des séries qui peuvent, plus que d'autres, se permettre d'avoir une diffusion complètement nawak. Exemple de série ne pouvant pas se le permettre : The Walking Dead, dont la tension passe son temps à monter puis chuter brutalement, et qui en est venue au fil des ans à ménager quatre climax par saison, pour meubler le rester du temps. Exemple de série pouvant se le permettre : Fear the Walking Dead, dont l'atmosphère plus mélancolique et contemplative s'accorde finalement assez bien des pauses (dans la diffusion) et autres temps morts (dans le récit). Ici, c'est peut-être la dernière fois que l'on compare les deux shows tant, depuis son retour il y a quinze jours, FTWD s'est envolée dans les sphères. C'est vrai que l'été a été morne, une fois achevée l'ultime saison de Person of Interest (c'est-à-dire au bout de trois semaines, vu sa diffusion encore plus  nawak). Les séries les plus attendues ont pataugé, les nouveautés étaient si médiocres que la terre entière a regardé Stranger Things en même temps, comme si nous étions... à l'époque de Stranger Things. The Night of a fait illusion trois ou quatre semaines. Il était sans doute plus facile en 2016 qu'en 2015 ou 2014 de diffuser coup sur coup les deux meilleurs épisodes de l'été. N'empêche : quelle reprise ! Quelle réalisation, quelle écriture... et quel souci du détail, surtout, ce petit truc qui manque toujours un peu dans The Walking Dead, où les coïncidences ressemblent trop souvent à des incohérences et où l'on a de plus en plus souvent le sentiment de regarder toujours la même chose, dans les mêmes décors, avec des personnages différents (et encore, pas toujours). J'avais eu cette intuition il y a quelques mois, que la saison 2 de Fear est en train de confirmer de belle manière : la vraie différence entre les deux sister shows, c'est que The Walking Dead est adaptée d'une BD et que la plupart du temps, elle fonctionne bel et bien selon des codes narratif de comics. Dans Fear, et alors même qu'elle en reprend beaucoup d'éléments (les thèmes, l'univers, la photographie), tout semble plus réel, plus dur, plus vrai. Du teint de Nick qui se hâle tandis qu'il passe son temps dehors à la géographie de la région en passant par le climat. On est là, on est dedans, avec ces personnages qui semblent d'abord un peu fades, avant que l'on s'aperçoive qu'ils sont juste comme nous : des êtres humains ordinaires.


The NIGHT OF Entamée sous les meilleures auspices avec un pilote trop long mais assez hypnotisant, la série de Richard Price s'est malheureusement perdue en d'inutiles circonvolutions arrivée en son milieu (c'est-à-dire à peu près au moment où elle a décidé de nous envoyer tous les clichés possibles sur l'univers carcéral). Très réussi, le procès a mis trop de temps à démarrer, retardé pour... quoi, au juste ? Nous parler des problèmes d'eczéma et/ou de chat du personnage de John Turturro ? Avouez qu'il n'y a que sur HBO qu'on ose passer deux heures d'une série limitée sur de tels sujets, avec réalisation au taquet et musique dramatique quand le petit chat remue la queue. Restent de très bons moments, notamment dans un brillant final, mais probablement pas assez pour que l'on garde de The Night of le même souvenir ému que l'on garde encore aujourd'hui de Criminal Justice.

👍 YOU'RE THE WORST (saison 3) Oh ! Super ! You're the Worst a repris ! Cette phrase tragique, je l'ai déjà prononcée l'an dernier à la même époque, pour un résultat que j'ai vite cessé d'imaginer différent en 2016. You're the Worst reste pour moi énigme. Elle n'est pas loin d'être la comédie actuelle possédant les meilleures vannes, les meilleurs comédiens, et assurément le meilleur (court) générique. Et pourtant cette semaine comme en 2015 et comme en en 2014, j'étais plus crispé qu'heureux en la regardant. Pis, vu les développement concernant les différents personnages, je doute que l'humeur soit beaucoup plus joyeuse que dans une saison 2 plus dépressive et maussade qu'un prestige drama du HBO (ne vous moquez pas de moi, j'ai eu un petit espoir l'espace des deux ou trois premières scènes). Ce qui ne m'empêchera pas de regarder jusqu'au bout, parce que franchement... une série qui arrive à consacrer un quart de son épisode au fait qu'un de ses personnages ne se lave pas les jambes, ça mérite une place particulière sur Le Golb. Rien que l'idée est tellement absurde. Tellement drôle. Tellement seinfeldienne, quand on y pense. "Bof, pas besoin, il y a l'eau qui coule dessus."


LA CUISSON EST TOUJOURS EN COURS

Si la manière d'appréhender Jean-Claude Van Johnson dépendra bien évidemment du degré de sympathie (ou d'antipathie) que chacun éprouvera à l'égard de ce taré de Van Damme, force est de reconnaître qu'il s'agit du pilote le plus sympa qu'Amazon (dont quasiment aucune création originale n'a à ce jour dépassé le niveau de "potable") nous ait sorti depuis... Transparent, peut-être, dans un registre on ne peut plus différent. Déjà complice (ou coupable, on ne sait jamais vraiment avec lui...) de l'attachant JCVD, le champion du grand écart renoue ici avec l'art délicat du méta, dans une veine toutefois bien plus grand public que le film ovniesque de Mabrouk El Mechri. Le résultat (qu'on ne va pas détailler, ça ne dure qu'une trop courte demi-heure) est drôle, inspiré, pas mal réalisé ni rythmé, et utilise habilement ses références aux plus grands succès de Van Damme (Timecop, Kickboxer, Double Impact), lequel s'éclate une fois de plus à jouer un super-lui-même (car dans la série, le vrai JCVD est acteur de jour, espion la nuit). Difficile de dire s'il y a réellement un potentiel sur la durée, mais cela constitue en l'état un court-métrage très rigolo.


On en dira pas autant de The Tick, autre pilote d'Amazon cherchant à mélanger les genres, et énième adaptation du superhéros presque invincible (qui a quasiment le droit à un reboot par décennie... ainsi qu'à une annulation). L'occasion ou jamais de souligner que la parodie aussi, malheureusement, peut accidentellement se retrouver à se prendre beaucoup trop au sérieux. The Tick 2016 n'est jamais drôle, bien trop lente, et la réalisation hyper léchée rend perplexe appliquée à un personnage plus proche de Bioman que de Dick Tracy (on préfèrera cent fois la version cheap des années 2000, et pas uniquement parce qu'il y avait notre Nestor Carbonell golbonational en Batmanuel). Enfin, tout cela n'est pas bien grave puisque les pilotes d'Amazon, c'est comme les amours de vacances : il est rare qu'on les revoie, sauf des fois un peu par hasard deux ans après, au détour d'un rayon du supermarché en ligne.

LE MEA-CULPA DE L’ÉTÉ

Il ne m'aura donc fallu que six ans pour accepter de me remettre à Boardwalk Empire. Une bonne moyenne, sachant que la moitié des spectateurs de sa première saison n'a pas fait cet effort, sans même parler de ceux qui n'ont pas dépassé son prétentieux pilote. Ce qui est amusant c'est que dans le fond, je n'ai pas le sentiment d'avoir beaucoup plus de choses à en dire qu'à l'époque. Au bout de six années à avoir autre chose à faire et à regarder, on peut considérer que mes ambitions ont été largement revues à la baisse. On peut également considérer que j'avais oublié beaucoup de choses de la saison précédente, même si je dois néanmoins préciser que je n'ai eu aucune difficulté à m'y retrouver, ce qui tend à appuyer la thèse selon laquelle l'essentielle de ladite saison se composait de longueurs inutiles.

En toute honnêteté, et si j'aimais bien plaisanter au sujet d'un show résumant presque à lui tout seul la nouvelle (enfin, à l'époque) politique de chez HBO, je n'ai jamais douté que Boardwalk Empire finisse par devenir une bonne série. Trop de gens dont je respecte les avis me l'avaient répété au fil des années, sans se connaître et sans toucher de pots de vins de Terrence Winters (du moins, pas que je sache). Rien que pour Steve Buscemi, et aussi un peu pour l'über-sexytude de Gretchen Mol, Boardwalk méritait que je regarde sa saison 2 - j'ai accordé ce privilège à Sons of Anarchy, nom de Dieu, qui sait pourtant que je trouvais cette série encore plus plate et chiante que celle produite-enfin-un-peu-par-Scorsese.


Je suis re-rentré dans cet univers avec une grande facilité, et même si tout cela est un peu trop loin pour que la comparaison soit pertinente, j'ai eu le sentiment que les intrigues s'étaient considérablement simplifiées, quitte d'ailleurs à sembler un peu simplistes par moments (mais pas autant que dans Sons of Anarchy, faut pas déconner). Honnêtement ? C'était bien. Pas génial. Pas un chef-d'œuvre comme certains me l'ont vendue. Mais une bonne saison d'une bonne série, extrêmement bien réalisée, qui m'aura laissé une bien meilleure impression que la précédente. Il reste encore quelques défauts, bien entendu. Boardwalk Empire conserve à ce stade un rapport un petit peu trop utilitaire à ses personnages, qu'elle manipule d'un point à un autre du récit avec une certaine finesse mais sans véritable passion et parfois dans des buts assez obscurs (cf. le destin de la femme de Jimmy, qui meurt pile au moment où elle commençait à justifier son existence). Il est difficile d'être parfaitement objectif sur certains points, car vous vous doutez bien qu'en six ans de discussions et autres "allez, vas-y, matte Boardwalk, c'est génial", j'ai largement eu le temps de me faire spoiler que Jimmy Darmody, co-héros des deux premières saisons, mourait parvenu à cette échéance (d'ailleurs du coup je vous le spoile aussi, ce qui n'est pas dans mes habitudes mais, vous verrez : ce n'est pas bien grave de le savoir. C'est peut-être même encore mieux.) Il me semble tout de même que replacé dans le contexte de l'époque, c'était assez culotté de la part des scénaristes, et de surcroît très bien amené. Et là, vous vous dites que ça commence à faire long... et vous avez sans doute raison. Bon dimanche à tous !

29 commentaires:

  1. J'ai pas regardé la saison 2 de FTWD. J'aurais dû? On s'ennuie moins que dans la 1?

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    1. On ne s'ennuie même pas du tout.

      Content de te revoir, elles étaient longues, tes vacances !

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  2. Merci pour ce grand final de mon show préféré !
    Une fois de plus je n'ai rien vu de tout ça, je fais juste partie du groupe qui a vu une partie de la première saison de Boardwalk Empire.
    Pour moi, cet été, c'était Indian Summers, Black Sails et UnReal et puis comme tout le monde Stranger Things.

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    1. Je cherche encore quelqu'un qui n'aurait pas regardé Stranger Things cet été ^^

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    2. Moi.
      Et ce n'est même pas par esprit de contradiction: j'ai vu le premier épisode et je me suis dit "Tiens, on devrait regarder la série avec ma chérie. Ensemble"

      C'était il y a deux mois^^

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    3. Je ne sais pas ce qu'il faut en déduire... qu'elle a mieux à faire et que toi tu glandes les pieds sur la table ? ^^

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    4. Moi je n'ai pas regardé stranger things... le pitch ne me disait rien qui vaille.
      et j'ai regardé UnReal avec impatience.. mais tellement déçue finalement.. Et je ne suis même pas allée au bout de Mr Robot. :-/
      Bref un été pourri à tous points de vue, n'étant pas fan de zombies.
      Peut être un peu blasée.. et lassée du format série au bout de 10 ans d'assiduité.
      The night of, je me suis attachée au personnage principal et à son mentor de prison (peut être par nostalgie du bon vieux temps des séries où on découvrait chaque jour de nouvelles pépites...) Le jeune acteur est pas mal je trouve.
      Finalement la seule que j'attends avec impatience c'est Braindead, parce que loufoque même si inégale.
      Bon je vais me remettre à lire je crois!

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    5. Moi, j'ai pas regardé Stranger things cet été. J'ai jusque commencé vendredi dernier, allais abandonner quand on m'a dit "qu'il fallait du temps pour rentrer dedans". J'ai donc continué ce matin en attendant d'aller au boulot. Résultat? J'ai hâte de rentrer chez moi :-)! (Et j'ai failli pas aller au boulot...)

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    6. CATHERINE >>> hum, pour être franc, le "mentor de prison", je trouve que c'est le personnage le plus cliché de la série :D

      ÉLODIE >>> marrant, il ne m'a pas fallu tant que temps que ça pour rentrer dedans. Pour déterminer si c'était du lard ou du cochon, un peu plus...

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  3. Ce que tu dis sur Dark Matter est tellement con..... et vrai, en fait!!

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    1. Bien sûr que c'est vrai. D'ailleurs l'héroïne fera une apparition dans la prochaine saison des Mystères, je l'ai lu dans Dorothée Magazine.

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  4. Bon là, je pense que tu m'avais vendu Fear the walking dead..

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  5. Moi cet été c'était quasiment rien non plus. Un remise à niveau de "Better Call Saul", la saison 3 de BoJack (mon canasson préféré) mais aucune nouveauté qui ne me tente vraiment; même "Preacher" que j'avais listé a fini sa saison 1 sans que j'ai eu le temps de dire ouf et d'en voir le pilote.

    Tu parles tellement bien de "Fear the Walking Dead" que ça me donne presque envie de détourner mon gros a priori sur ce spin off d'une série dont je me suis lassé depuis deux saisons. Je regarderais donc.

    Je suis bien content que tu aies redonné une chance à "Boardwalk Empire". Hormis sa troisième et agaçante saison, c'est une série qui mérite d'être redécouverte en dehors de son contexte promotionnel de l'époque (plus gros budget pour un pilote, estampillé Scorsese, nouveau Soprano de la Prohibition etc.) et qui se bonifie; j'ai même davantage aimé le traitement des personnages féminins que la plupart des protagonistes masculins. Dans mes souvenirs, la saison 4 était même fichtrement bien fichue.

    Ah, si, je reste assez hypnotisé devant la saison 2 de "Mr. Robot", et pas seulement pour la qualité de la mise en scène. Le tout est très intriguant, que ce soit dans la forme du récit qui se crée et pour le récit lui-même. A voir jusqu'à son terme pour un avis plus arrêté mais la série offre tout de même l'essentiel dans toute histoire qui se respecte : l'envie d'y revenir.

    Et bonne rentrée au Golb ^^

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    1. Ah non ! Me dis pas que la saison 3 de Boardwalk est agaçante, ça se fait pas de décourager les bonnes volontés ! :-o

      Mr. Robot je ne suis pas du tout à jour dessus, je n'ai vu que les trois premiers (que j'ai trouvés très bons, bien loin des commentaires négatifs que la série suscite cette année). Il faut dire qu'en plus de l'atmosphère poisseuse comme pas permis, les épisodes sont particulièrement longs, ce qui fait que j'ai du mal à trouver le bon moment pour refaire mon retard...

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    2. Alors, je corrige "Hmm, hmm. Oui oui la saison 3 est bien, moins bien que la deux et juste avant la quatrième qui est, ma foi, d'un niveau encore supérieur" ;)

      Eh bien écoute même Sam Esmail semble avoir formulé des excuses officielles (via Twitter ou je ne sais plus) au sujet de la longueur des nouveaux épisodes de "Mr Robot"; je ne comprends pas non plus ce que l'on reproche à cette nouvelle salve (j'en suis resté au sixième opus). C'est (hyper) bien fait ET très prenant.

      Le seul reproche (mais relatif) que j'aurais à établir sur cette saison, c'est de ne pas avoir plus d'éléments sur la retombée du piratage. C'est présent mais quasiment à l'arrière-plan. Mais, tout de même, même cet arrière-plan est subjuguant.

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    3. Mouais... ça fait un peu raccrochage aux branches ;-)

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  6. Je note que tu t'y connais vachement bien en salut les musclés... :-)

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  7. Salut Thomas. Dis, il y a un problème, avec le CDB, ce matin ?

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    1. Le CDB a été hacké pendant la nuit (non, je ne plaisante pas). A l'heure actuelle nous ne savons pas du tout ce que nous pourrons récupérer, ni-même si nous pourrons récupérer quoi que ce soit :-/

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    2. oh non ! je croise les doigts !

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    3. Ah merde... pourtant vous aviez Mr Robot sur le podium non? ;-)

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    4. THIERRY a quasiment fait la même blague :-)

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  8. Enfin tu te rends à l'évidence pour Boardwalk ;-)

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    1. Je ne me rends à aucune évidence puisque, contrairement à toi, je n'ai pas qualifié cette série de chef-d'oeuvre ^^

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    2. Boardwalk est rentrée dans le champ "série ordinaire" (sauf par ses acteurs) le jour où Jim Carmody est mort. ^^

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    3. Ah bon ? Bah j'arrête de regarder, alors ^^

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  9. oups Darmody... pfff j'avais pas mes lunettes de vieille! :-/

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