mercredi 4 mai 2011

Fuck Me & I'll Fuck You Twice

...
Cette fois-ci, je voulais vraiment marquer le coup. Faire un truc un peu original, un peu exceptionnel. Un truc qui aurait été à la hauteur de ce que l'évènement représente pour moi.

J'ai pensé à organiser un concert, mais ces cinq dernières années, j'ai appris à ne pas avoir les yeux plus gros que le ventre.

J'ai pensé à inviter tous ceux qui le souhaiteraient à vider quelques pastis dans un authentique bar-PMU, mais j'ai horreur de la foule et je n'aime pas le pastis.

J'ai pensé à rédiger une énorme compilation, un véritable best of, mais après tant d'années à surprendre et me renouveler, j'aurais trouvé ça pathétiquement prévisible (ou le contraire).

J'ai pensé à plein de choses et finalement je n'en ai retenu aucune, et dimanche est arrivé et je n'ai rien fait ni dit. Et dimanche est passé. Et Le Golb a fêté ses cinq ans en silence.

Faut dire aussi que mes ardeurs avaient été sévèrement douchées par ce putain de mariage. Je pense que vous voyez à quoi je fais allusion. Qu'est-ce qu'ils nous ont fait CHIER avec leur mariage princier. J'ai cru mourir. Toute la matinée. Toute la journée. Même le vingt heures de France 2, que je regardais en attendant le début de Signature (on en reparle la semaine prochaine), a largement débordé. Et le lendemain, on en parlait encore pendant des heures, l'attentat à Marrekech ayant été relégué - je cite - dans "le reste de l'actualité". C'est surréaliste. Si j'arrivais à croire sincèrement que cela intéresse nos concitoyens, que ce n'est pas l'archétype de l'évènement qui n'en est un que parce que les médias en parlent, je me dirais que notre pays est complètement foutu. Merde, on est en France. Théoriquement, sur le papier, dans l'absolu... un mariage princier cristallise à peu près tout ce qu'on déteste, nous les Français. L'étalage de richesses indécentes, alors que chez nous demander à quelqu'un combien il gagne est une quasi atteinte à la vie privée. Le règne du pipole, alors que notre pays, même s'il est de plus en touché par ce phénomène, demeure un quasi résistant par rapport au reste de l'Europe. Et bien sûr les têtes couronnées - je ne rappellerai pas que chez nous la tradition est plus souvent de les décapiter que de se réjouir de leurs unions. Je sais bien que nous sommes tous en manque de rêve et de glamour, et que ce n'est certainement pas en imaginant notre couple présidentiel reproduisant l'espèce que les choses vont s'arranger. Mais précisément, il n'y a rien de moins glamour que William et Kate, ces deux gamins coincés.

Ah ça, il fallait les entendre, les "journalistes" (?), s'exciter sur le mariage du Prince et de sa "roturière" (sic), sa "madame Tout-le-monde" (re-sic). Limite la mignonne Kate était la petite soeur des pauvres, une prolétaire devenue duchesse, le conte de fées dont tout le monde rêve. Il est vrai qu'issue d'une famille d'ouvrier communistes, elle a été élevée à la St. Andrew's School, école publique désargentée (le site officiel en témoigne) située dans un horrible ghetto à une trentaine de kilomètres d'Oxfort, que l'on surnomme comme chacun sait "le Queens du Berkshire."

Enfin bref. Ce déballage interminable explique que j'aie tenu à vous épargner les célébrations du jubilée du Golb, conscient que vos pauvres âmes en avaient eu assez. Et pourtant, j'aurais bien aimé vous parler de ce télégramme de félicitations que m'ont fait parvenir deux astronautes, fans du Golb depuis de nombreuses années. J'aurais assez apprécié que la presse revienne sur mon enfance difficile, dans le ghetto de Frocville, où l'alcool et le viol de bétail faisaient rage. J'aurais rêvé que l'on harcèle ma mère de questions, ma femme de flashes, et moi de propositions sexuelles indécentes. Je me console en me disant que la béatification de Jean-Paul II aurait sans doute éclispé l'évènement (note pour moi-même : vachement utile d'avoir trois chaînes infos qui diffusent la même chose messe au même moment !), et sinon la mort de Ben Laden s'en serait chargée, puisque la nouvelle mode désormais est qu'il n'y a plus qu'une seule actu par jour. Les cinq ans du Golb n'avaient semble-t-il pas leur place dans les médias, même Obama n'en a pas touché un mot dans son allocution (quand je vous disais qu'il avait changé depuis son élection).


Pourtant, qui osera dire que cet évènement n'est pas considérable ? Cinq ans. Je ne sais pas si cela vous dit quelque chose. Cinq ans. Vous étiez où, vous, il y a cinq ans ? Certains lecteurs du Golb étaient encore puceaux. D'autres, à l'image du petit Joris, sortaient à peine la tête de leur oeuf.  Et je ne vous parle de tous ces jeunes lecteurs du Golb qui ont été littéralement conçus à la lecture de Mes disques à moi (et rien qu'à moi). Cinq ans ! Il faut se rappeler à quoi ressemblait le monde, il y a cinq ans. Chirac était Président de la République. Obama n'était qu'un outsider inconnu que personne ne prenait au sérieux. Zidane, Thuram et Barthez jouaient encore au football (on disait même souvent d'un homme au crâne rasé qu'il avait "une coupe à la Barthez", les enfants). Secret Story n'existait pas, à l'instar de la plupart des journaux pipoles qui en font leurs choux gras aujourd'hui. Mon groupe préféré, les Smashing Pumpkins, était splitté. La plupart de mes groupes préférées étaient splittés (c'est-à-dire pas encore reformés). Ernesto Violin ne sortait pas encore deux albums par an, en fait il n'en avait même pas sorti un seul et ne s'appelait d'ailleurs pas du tout Ernesto Violin, mais Jean-Patrick Hawley. Twitter balbutiait tandis que des gens utilisaient encore, je vous jure que c'est vrai, le minitel (je mets le lien Wikipedia pour les jeunes qui nous lisent). Hadopi n'existait pas, mais on n'en avait déjà pas très peur. Patrick Poivre d'Arvor (mais si les enfants, vous le connaissez) présentait le journal télé et personne n'aurait pu croire une seconde qu'il s'arrêterait un jour, encore moins qu'il serait viré. Thierry Gilardi, paix à son âme, était le plus sympa (et surexcité) des commentateurs de foot - et Dieu sait qu'on avait parlé de foot cette année-là. Alain Bashung, Alex Chilton et Jacno étaient toujours avec nous, tout comme Mano Solo, Vic Chesnutt ou Mark Linkous, dont il semblait terriblement peu vraisemblable que seulement cinq ans plus tard ils nous aient quittés tous les trois. La saison deux de Lost n'était pas encore passée en France (car à l'époque on regardait les séries à la télé, je vous jure les enfants) et on se demandait tous ce qu'il y avait au fond de la trappe, tout comme le plus gros de la population de la planète était quasi sûr que Harry Potter mourrait dans le dernier tome. Plus fou encore : Les Soprano et The Shield passaient toujours ! Plus fou que fou encore : Desperate Housewives était une bonne série. De manière générale, la plupart des blogs que nous lisont tous aujourd'hui avec passion n'existaient pas, on n'aurait jamais cru qu'ils existeraient, et encore moins que leurs auteurs deviendraient de vrais potes. Plein d'autres existaient que l'on a enterré depuis les larmes aux yeux, je pense à la Page Nulle de Zaph (qui ne s'appelait pas encore Marc, enfin, plus et pas encore re), à Chtif, Alex, beaucoup d'autres, et plus spécialement à SysTool - puisque celui-ci vient de mettre la clé sous la porte après six années des bons et loyaux services (et j'avoue que ça m'a foutu un coup, plus que je ne l'aurais cru).

Il y a cinq ans Le Golb démarrait timidement, vous ne le connaissiez pas, et osons le dire, votre vie était triste et pathétique.

S'il y avait une vraie célébration et que la télé avait été invitée, je vous aurais sans doute préparé une allocution emphatique et larmoyante dans laquelle je me serais attardé sur l'importance que ce blog a eu dans mon existence des cinq dernières années, mais finalement nous l'évitons et ce n'est probablement pas plus mal. Je me contenterais uniquement de relever que mon rapport avec Le Golb lui-même, a changé. Il ne faut pas se leurrer, à l'origine je n'étais qu'un gamin avide de reconnnaissance. Je ne cherchais pas réellement à partager, je ne cherchais pas à provoquer une ouverture sur les autres. Je cherchais avant tout et uniquement à ramener ma gueule, à tout propos et sans modération. Je ramène toujours souvent ma gueule, ok. Je n'ai pas changé à ce point là (imaginer ici un immense sourire narquois). Mais la notion de partage, de rencontre a pris le pas sur le reste. Ironiquement, je lis beaucoup moins les autres blogs, faute de temps. Je les lis cependant beaucoup plus sincèrement, avec une curiosité beaucoup plus forte et un intérêt on ne peut plus... désintéressé. Bien sûr, Le Golb demeure mon espace à moi et je vous emmerde. Vous serez cependant heureux d'apprendre que je ne vous emmerde plus avec la même véhémence qu'autrefois. Je vous emmerde sans mépris ni haine ni suffisance. Je vous emmerde de bon coeur, et cet emmerdement demeure bon-enfant.

Je vous emmerde mais je vous aime bien quand même, hein. Nous sommes amis, en quelque sorte. Enfin non, pas avec toi. Ni avec toi. Bon ok, nous ne sommes pas du tout amis, mais il y a malgré tout pas mal d'amitié dans ces pages. Et croyez-moi, ce n'est pas le moindre des mérites de ce site que de m'avoir permis de me faire des amis, moi qui ai toujours eu énormément de mal à m'en faire. A vrai dire, à l'heure actuelle, quasiment tous mes amis ont été rencontrés via le Net. C'est marrant, hein ? Quand on pense à tous ces reportages sur le cyber-addict, l'ultra-moderne solitude et toutes ces conneries. Il fallait que je vous le dise quand même, parce que bon, ne nous leurrons pas, j'ai beau ne pas avoir prévu de mettre la clé sous la porte prochainement, Le Golb est probablement plus proche de la fin que du début. Je ne peux que reprendre à mon compte ce que me confiait Matt Elliott à propos du dubstep : j'ai vraiment pas envie d'arriver à la quarantaine et d'être encore en train de tenir un putain de blog. J'espère que l'un d'entre vous aura la bonté d'âme de hacker Le Golb dès que je commencerais à présenter les premiers signes d'autoparodie. De débrancher un patient qui aura si souvent été branché malgré lui.

Bon eh bien... voilà, je crois qu'il est fait, cet édito des cinq ans. Pas terrible, hein ? Merde, si ça se trouve le début de l'autoparodie était justement ici.

39 commentaires:

  1. Salut Thomas,
    très bel édito pour ces 5 années qui, en effet, auront connu les tas de micro-révolutions que tu décris à coup d'humour un peu sombre.
    J'aime beaucoup la fin. Tout comme toi, je ne me vois pas continuer "éternellement" la vie bloguienne. Je l'évoquais d'ailleurs dans le fameux "ils ne passeront pas la décennie" en y intégrant JB & Co.
    Le départ de Systool, même si je n'y commentais que rarement car je ne maîtrise pas beaucoup les musiques, livres dont il parlait m'a fichu aussi un petit coup de blues quand il me l'a annoncé il y a déjà plusieurs mois.
    Allez, @ dans 5 ans ?

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  2. Encore 55 mes livres à moi et 5 Mes disques à moi, avant que le Golb ne demande à être hacké.
    Ou une troisieme saison de journal du dépressif.

    Par contre, si d'aventuere, on voyait à nouveau une critique positive de David Foenkinos, Coldplay, ou Glee...

    Là faudra se résoudre au pire.

    Mais en attendant, Bon anniversaire le Golb.

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  3. Nous aussi on t'emmerde, Thom, et avec joie ;)

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  4. "A vrai dire, à l'heure actuelle, quasiment tous mes amis ont été rencontrés via le Net" --> Quitte à être transparent, on aurait bien aimé savoir combien de filles, Le Golb t'a-t-il aidé à chopper en 5 ans.

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  5. J'avais jamais réalisé que ce blog était aussi "vieux". Et bien bon anniversaire!

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  6. Le Golb, l'enfant qu'on a vu grandir. J'y étais, pourrais-je dire à l'enterrement ;)

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  7. bon anniv Golb, compte pas sur moi pour te débrancher...
    dommage pour le concert, j'aurai bien participé au tremplin...

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  8. J'aurais peut-être exactement dit comme Lil mais mon idée est la même. Bon anniversaire et surtout merci pour toutes les découvertes, discussions et j'en passe !

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  9. Quand Le Golb est né, j'apprenais à jouer l'intro de Sweet Child O' Mine sur une guitare classique de mauvaise qualité, et mon album de chevet était sans doute All Killer No Filler de Sum 41.
    Les temps ont changé depuis fort heureusement... :)

    Bon anniversaire Le Golb! Sans doute l'information la plus passionnante du week-end.

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  10. Le Golb, ou la plus belle des paraboles sur le passage à l'âge adulte.

    ;-)

    BBB.

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  11. Mika > tu as raison, mais formulation était terriblement maladroite. Toutes mes excuses...

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  12. Tu comptais vraiment que je lise tout ça ? :-)

    Bon allez, baunaniv quand même...

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  13. Ah bon ? Ca existait déjà, l'Internet, y a cinq ans ? ;D

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  14. Bon anniversaire au Golb, qui atteint un age vénérable (comme pour les chiens, il faut multiplier l'age par 6 ?!)

    Ne remballe pas tout de suite, la relève n'est pas encore tout a fait prête. (moi non en tout cas)
    [Pour le titre il faut y voir une référence a Pusher? :]

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  15. Putain, la vache... je viens de réaliser qu'il y a 5 ans, je n'avais même pas d'ordinateur !!

    Bon anniversaire, cher Glob, et ne t'arrête pas trop vite, tout de même !!

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  16. Joyeux golbanniversaire ! ^_^

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  17. bon anniversaire au meilleur blog culturel francophone !

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  18. Je serai la première à te souhaiter de très joyeux 5 ans et un jour, na :-)
    Je fais partie des ceusses qui aiment que tu les emmerde, et comme la masochiste foule, je crie "encore !!"

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  19. Rigole, mais si le Golb fermait je pense que je serais sacrement déprimé ! :-)

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  20. bon bloganniversaire ! on a quasi commencé en même temps, en fait...

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  21. Merci à tous, je ne vais pas répondre à chacun mais... c'est agréable ^^

    De toute façon, la seule réponse qui, je pense, intéresse tout le monde, c'est évidemment celle à la question de Benjamin. Et la réponse est... quatre. Mais peut-être que je plaisante. Ou peut-être pas ;)

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  22. Stouffer ;-!

    http://www.gamerz.be/la-p0ub3lle/t-begicisme-quelques-termes-excellents--205822.html

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  23. @Thomas : Putain quatre... et moi qui trouvais que c'était déjà un exploit que Playlist Society ait pu peser dans la balance avec une... :)

    Je te souhaite tout autant de choppes golbiennes pour les cinq années à venir :)

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  24. On peut pécho grace à son blog ! Et personne ne m'avait rien dit !?!

    Quel con, mais quel con !!! :-)

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  25. 5 ans, et quelques milliers d'articles, respect.

    bon la question est sur toutes les lèvres : tu te représentes pour un autre quinquennat?

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  26. allez, mets fin au suspense, tu te représente pour un autre quinquennat :-)

    Golbident de la république du Golbistan !

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  27. Cinq ans, ça me rend toute timide - moi qui suis une des tes lectrices toute jeune, à peine un an. A vrai dire, je ne sais même pas si je dois commenter - surtout que tu m'as dit que tu m'emmerdais et que je n'étais pas ton amie (si si, je me suis reconnue dans le deuxième toi) ;)

    Joyeux anniversaire, Le Golb!

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  28. Alors bon anniversaire gamin !
    (putain pas trente ans et il parle déjà comme un vieux... enfoiré va !)

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  29. C'est marrant ça, le même âge ou presque (que Pop Hits) et quasiment le même nombre de billets publiés (que Libé).

    Dingue ça !

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  30. Lyle, c'est quoi ce commentaire 5 commentaires au-dessus ? Gaffe, tout est surveillé.
    Thom, c'est vrai que tu as changé. Je n'aurais pas misé un kopek, mais force m'est de le constater. Bon anniversaire :)

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  31. Al' >>> :-)

    Benjamin >>> de là à dire que c'est parce que Le Golb est quatre fois mieux, il y a un pas que je ne franchirai pas, tout de même ^^ En revanche ce qui est sûr c'est que maintenant PS est devenu un magazine, avec plein de plumes différentes, ça va être d'autant plus difficile pour toi de t'en servir pour draguer. J'imagine la scène déchirante avec la bimbo qui s'approche de toi, te fait un sourire cajoleur et se fend alors de ces mots : "Alors en vrai, il est comment Nathan ?" (variante : "Et sinon, Julien, il a quelqu'un ?") ;-)

    Lyle >>> ne fais pas l'innocent, souviens-toi de cette jeune chanteuse qu'Arbobo t'avais prés... euh non, rien.

    Arbobo (justement) >>> attends, je te rappelle que j'ai déjà fait le coup des élections l'an dernier...

    Melou >>> bien sûr que tu peux et dois commenter... il y a quand même le mot "Lost", dans cet article :-))

    Christophe >>> ^^

    Cuné >>> ne te sous-estime pas, tu avais manifestement senti un potentiel... sinon tu m'aurais étranglé une fois pour toutes depuis longtemps :-D

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  32. Schtroumpf Grognon6 mai 2011 à 15:58

    Moi j'aime pas les anniversaires.
    Et j'aime pas qu'on m'emmerde.
    Pis je connaissais pas le Bolg y a 5 ans (à peine si je connaissais inter-nénette).

    *croise les bras*
    *tourne le dos*
    *boude dans son coin*
    *tire la langue à Thomas, pasque quand même*

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  33. Tu tiens vraiment à ce que je révèle tes façons très particulières d'interviewer les jeunes artistes ?

    Sinon "J'imagine la scène déchirante avec la bimbo qui s'approche de toi, te fait un sourire cajoleur et se fend alors de ces mots : "Alors en vrai, il est comment Nathan ?"" expliquerait-il pourquoi certains rédacteurs de dlmds sont si peu productifs ? Ca ne serait pas un problème, les gars, si ce genre de choses arrive, je vous assure... alors envoyez moi vos billets. :-)

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  34. Quitte à être transparent, on aurait bien aimé savoir combien de filles, Le Golb t'a-t-il aidé à chopper en 5 ans. --> la vraie question : combien de râteaux a-tu distribués via le Golb en cinq ans ? ^^

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  35. Waaah bon anniversaire Thom frère... j'ai pris le train en marche mais pas tant que ça en fait, je te crois toujours plus vieux (en golbitude of course):-))))

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  36. Lyle >>> bah quoi ? C'est pas moi qui ai inventé le "in bed with" ^^

    Élodie >>> la vraie question c'est plutôt combien de râteaux ai-je pris depuis la création du Golb. Là, on a une statistique intéressante, puisque j'en ai pris beaucoup moins avec Le Golb que sans ;-)

    yueyin >>> non, pas tant que ça, tu étais plutôt dans le "premier wagon" des lecteurs du Golb... de mémoires on a dû découvrir notre parenté à l'automne 2006, ou quelque chose comme ça (quelle émotion, retrouver ainsi toute sa famille par hasard ^^)

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  37. Oui c'est cela 2006, l'année ou j'ai ouvert le mien blog :-) et retrouvé une partie de ma famille perdue, ça valait le coup :-)))
    Dis tu as vraiment commencer Endymion parce que moi non hein... tu en es où ?

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  38. M'en parle pas, ça fait 15 jours que j'ai commencé et j'en suis au tout début, je n'accroche pas du tout et je crois que sans le challenge, je l'aurais certainement abandonné.

    Donc j'ai pas beaucoup d'avance sur toi, pour te répondre ! ^^

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