mardi 12 mai 2009

House, égal à lui-même

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[ALERTE : Nos services de sécurité ont évalué le taux de spoil de cet article à 6 %] Nous sommes en 2009 et pour Gregory House comme pour nous les saisons se suivent, se ressemblent et se mélangent. C'est que si la série TV est probablement le format d'expression le plus rentable à l'heure actuelle, c'est aussi et surtout celui qui est soumis au plus de contraintes, l'attention du spectateur et les courbes d'audience étant un couperet qu'aucun scénariste n'a à ce jour été capable d'esquiver. Ne paniquez pas, fans de House M.D. (en V.O.) : votre série favorite ne s'arrête pas. Ouf. Le problème, c'est qu'arrivé à la fin de la saison 5 notre couperet à nous est tombé : votre série favorite lasse un peu. Comme plein d'autres, d'ailleurs. En réalité, les séries TV même les plus performantes sont presque toujours coincées entre le marteau et l'enclume, entre le spectateur inconditionnel de la première heure et celui, plus exigeant, qu'elle aimerait surprendre et emmener en seconde lune de miel. Or il est connu que dans ces cas-là c'est toujours le premier qui l'emporte au détriment du second, il en va pour House comme pour la plupart des ses concurrentes (Desperate Housewives ou Les Experts, par exemple, pourtant pas les plus mauvaises dans leurs genres respectifs). Aussi semble-t-il acquis désormais que les séries n'ont pas le droit de se renouveler, que l'innovation vient toujours de l'extérieur, qu'il vaut mieux du point de vue budgétaire remplacer une série existante mais usée par une nouvelle apportant son lot d'innovation plutôt que prendre le risque d'incorporer de l'innovation au sein d'une série déjà en cours (l'exception confirmant la règle étant évidemment Lost, cas quasi unique de série se renouvelant complètement à chaque nouvelle saison).

La saison 5 de House n'est donc pas mauvaise... elle manque cruellement de fraîcheur. L'effet de surprise des premières saisons depuis longtemps estompé, House est devenu une série ordinaire reposant sur un concept quasiment inaliénable (aaaaah... le fameux troisième diagnostique qui survient toujours entre les minutes 32 et 38 de l'épisode !), on pourra faire ce qu'on voudra, changer les personnages, inventer une liaison homosexuelle entre House et son copain Wilson... House M.D. sera toujours, encore et éternellement House M.D., ce jusqu'au jour (plus très loin si ça continue comme ça) où le public en aura marre et se piquera d'un nouveau héros anticonformiste.

Pourtant la saison 4, après un départ un peu laborieux, s'était avérée plus qu'agréablement surprenante, riche en rebondissements et souvent hilarante. Certes, la série basculait alors définitivement dans la parodie... mais au moins les auteurs tentaient-ils (avec talent) un nécessaire renouvellement des cadres, terminant certes sur un final larmoyant... mais laissant espérer pour la saison suivante ce qu'on n'osait plus attendre d'eux : un Dr House vraiment en danger, qui serait amené à se remettre en question, à évoluer. Et cette transformation, bien sûr, devait immanquablement se faire par le biais d'une rupture consommée avec Wats... euh : Wilson.

Arrive la saison 5 et là... que dalle. Ou si peu. Les trois ou quatre premiers épisodes sont certes réjouissants, enlevés, intéressants... mais malheureusement le soufflet retombe bien vite. La brouille avec Wilson, qu'on attendait comme l'évènement majeur de cette année, va bien vite être évacuée, entrainant du même coup la disparition du seul nouveau personnage de cette saison, qui sembla un temps susceptible de devenir le premier véritable ami de House - le premier qui aurait vraiment partagé ses centres d'intérêt et sa vision du monde. La suite relève de la routine absolue : oubliées les excentricités de la saison 4, la nouvelle équipe du Doc est désormais installée et la série se recentre sur les fondamentaux - cas médicaux pas possibles et vannes piquantes. Ce sont évidemment ces dernières qu'on préfèrera, Hugh Laurie donnant plus que jamais l'impression de porter toute la série sur ses frêles épaules. Il faut d'ailleurs bien dire ce qui est : House, désormais, n'est plus que ça. Une succession de vannes et de réparties souvent remarquables exécutées par des comédiens brillants. Les intrigues parallèles, la psychologie des personnages... tout ça n'existe quasiment plus et Foreman mis à part (qui devient à l'inverse de plus en plus complexe et séduisant), les héros de la série (Wilson et Cuddy en tête) ressemblent de plus en plus à des caricatures d'eux-mêmes.

House a-t-elle donc fait son temps ? Difficile à affirmer, tout au plus a-t-on entendu dire que cette année la série a un peu peiné niveau audiences, avant tout sauvée par son immense popularité à l'étranger et les ventes conséquentes de ses dévédés. A priori conscients du problème, les scénaristes ont d'ailleurs nettement élevé le niveau en fin de saison, proposant dans la dernière ligne droite une brochette d'épisodes particulièrement sombres et plus inventifs... un peu tard, hélas. Le fait est que du point de vue qualitatif, le programme se retrouve aujourd'hui desservi par ce qui hier encore était son principal atout : le Dr House par définition ne peut pas, ne doit pas et ne va pas changer. Et cette fois-ci, le grand final de la saison ne trompera personne : c'est la énième fois qu'on nous annonce un Dr House qui va changer, et on peut d'ores et déjà assurer que dans la saison 6, on verra pour la énième fois qu'il ne changera pas. Rejeter l'amour, les bons sentiments et les happy-ends, voilà ce qui faisait qu'on était tombé sous son charme... et voilà ce qui fait qu'aujourd'hui il est condamné à stagner pour l'éternité, à ne jamais évoluer. Quelque part la mise en abyme ne manque pas de piquant : le spectateur en vient à ressentir pour lui ce que son équipe ressent depuis cinq saisons : un mélange de fascination et de lassitude face à ce type génial parce qu'incurable... et usant pour la même raison. Alors pour l'instant l'édifice tient encore un peu, grâce aux dialogues, grâce aux acteurs... mais il n'est franchement pas sûr que ce soit encore le cas d'ici un an...


House M.D. (saison 5)
créée par David Shore
FOX, 2008-09


29 commentaires:

  1. Je viens de regarder à l'instant le dernier épisode, il m'a mise en colère, parce que vraiment le coup du "c'était pas vrai" c'est du déjà vu plus que revu. Comme tu le dis, pas un seul pas en avant dans cette saison, rien.
    Il faudrait avoir le courage de ne plus regarder l'an prochain, en même temps on espère toujours.. :-D

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  2. C'est marrant moi aussi je viens de le voir et je pense pareil, y a carrément du foutage de gueule.

    Je crois qu'en fait le problème d'House c'est que c'est plutôt une bonne série mais qu'elle a été incroyablement sur-cotée à ses débuts, parce qu'elle apportait quelque chose de nouveau avec ce personnage alors qu'en fait, les faiblesses étaient déjà plus ou moins là dès le début simplement on ne les regardait pas forcément parce qu'on était trop séduit par House lui-même...

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  3. C'est cool ça, t'avais fait l'effort de pas spoiler, et bam! premier commentaire, season finale foutu en l'air. Merci.)

    Sinon, donc, j'en suis à devoir regardé l'épisode *21, et c'est vrai qu'avec le recul, je me dis qu'il s'est passé quelques trucs, oui... mais pas grand chose, et surtout, rien entre les épisodes 6 et 16, ça fait beaucoup.

    Les saisons précédentes tentaient au moins d'avoir une trame de fond (le flic de la 3, le recrutement de la 4) mais là, rien, nada, enfin si: plein de petites intrigues parallèles dont on se tamponne totalement.

    Bref, reste le fait de vivre un moment agréable même si sans aucune surprise (le coup du troisième diagnostic c'est tout à fait ça... Limite c'est sur ça qu'ils devraient travailler: relancer l'intérêt quant à la détermination de la maladie du jour)... Hugh Laurie tient le truc .... mais c'est tout.

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  4. Où est la révélation ? Qu'est-ce qui n'était donc pas vrai ? Faut pas exagérer.

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  5. Cuné >>> oui, c'est sûr... cette année pour House, comme pour Desperate Housewives d'ailleurs, j'ai eu l'impression de regarder par habitude, une espèce de réflexe de Pavlov : le nouvel épisode est sorti, hop, je le regarde. Et il est certain que le final est d'autant plus déplorable que les derniers épisodes de la saison étaient les meilleurs depuis bien longtemps, les gâcher comme ça c'est assez... stupide, en fait. Mais ce n'est même pas la première fois cette saison qu'ils nous font ce genre de coup... il y a eu aussi il y a quelques mois cet épisode où House trouve le moyen de ne plus souffrir (je ne sais même plus comment), et où on nous laisse penser que ça va amener une évolution... alors que finalement on n'en reparle jamais. Et même la manière dont Wilson fait le deuil d'Amber en cinq épisodes chrono, c'est carrément limite...

    Serious Moon >>> assez d'accord avec ton analyse.

    Guic' >>> je comprends que tu puisses supposer que c'est un spoiler mais honnêtement non, pas vraiment, ne t'en fais pas. ;-)

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  6. Certes, mais comment dire, même sans révélation précise, quand je le regarderai, je saurais qu'il y a "un truc qui n'est pas vrai". Résultat, je me perdrais en conjecture, et me connaissant (et connaissant les rouages de la série) il y a des chances que je tombe juste, foutant à l'eau un rebondissement calculé par les scénaristes qui aurait pu être efficace: même sans révéler l'histoire, ca peut gâcher le plaisir...

    Un peu comme quand on te répète que tu peux pas t'attendre à la fin au point que tu finis par t'y attendre...

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  7. C'est sûr... mais en même temps à partir du moment où on lit l'article sur une saison finie alors que de son côté, on ne l'a pas finie, c'est un risque qu'on prend connaissance de cause. Combien de spoilers de Lost, par exemple, peut-on trouver sous les deux articles que j'ai consacrés à la série ? Un certain nombre. Il est facile de contrôler les articles, mais on va pas commencer à coller des balises spoilers partout dans les commentaires, franchement je trouverais ça débile (sauf ton respect)...

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  8. Ne t'en fais pas, mon respect est intact. Mais comment dire... Après avoir lu tes articles sur diverses séries, je sais que "je peux te faire confiance" si tu veux.
    Je devrais juste savoir m'arrêter de lire à temps ;-) (genre à "publié par")

    (D'un autre coté vu comment j'ai spoilé DBZ la semaine dernière j'suis mal placé pour parler, aussi :-) )

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  9. Comme vous le dites, ce sont évidemment les nécessités du marketing qui ont condamné House (comme la plupart des séries) à ennuyer au fil des années. Les auteurs de cette série sont toujours les mêmes, ils sont toujours capables de tenter des choses originales, ou ambitieuses (voire l'épisode façon "Johnny Got His Gun", en vue subjective par les yeux du patient), mais ils se heurtent à des contraintes peu artistiques, comme c'est le lot de la plupart des auteurs de séries (surtout lorsque la série en question a énormément de succès). La dernière image de l'avant-dernier épisode (je pense que vous voyez ce que je veux dire) m'a d'ailleurs paru, sur le coup, une pathétique tentative de rameuter le spectateur endormi, avant un final tellement mauvais que, sur le coup, je me suis demandé si ce n'était pas le pire final d'une saison de série que j'avais jamais vu! Néanmoins, je vous sais gré, dans votre article, de ne pas rester sur cette dernière impression ("colère" est le mot juste), et de livrer une appréciation plus générale. Il y a de bons moments (notamment ceux avec Kutner, pas de chance!) dans cette saison 5, mais aussi beaucoup d'ennui, la nouvelle équipe manquant à mon avis de charisme (13, à part être belle, quelle est son utilité ?). C'est malheureusement à ce prix qu'une série, en tout cas aux Etats-Unis, maintient son audience. Car si vous citez Lost à raison, comme exemple de série se renouvelant en permanence, il faudrait voir ses audiences actuelles, qui sont misérables par rapport à celles de ses débuts. Lost a rapporté tellement d'argent à ABC, c'est un tel "phénomène de société", que ses producteurs peuvent tout se permettre, n'allez pas chercher plus loin le "pourquoi c'est l'exception qui confirme la règle".

    Cordialement.

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  10. Guic' >>> on est tous le spoiler de quelqu'un d'autre ;-)

    Bloom >>> Kutner ? C'est qui déjà ? :-D

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  11. J'attendais beaucoup de cette 5ème saison moi aussi. J'avais vraiment été emballée par les épisodes après-grève de l'an dernier, et je croyais qu'on allait avoir droit à un changement de ton. Mais je suis d'accord avec tout le monde, les choses redeviennent très vite comme avant, et je ne me précipite même plus pour regarder les épisodes. J'en suis au dixième depuis des semaines, mais rien ne presse vraiment. Je n'aime pas les nouveaux, alors j'ai beau savoir que Foreman et Thirteen vont tomber amoureux, je m'en fiche complètement. Je trouve même que c'est révélateur que les seuls fils conducteurs soient des nunucheries de ce genre (comme je n'ai pas de coeur, je mets la maladie de la paaauvre 13 dans ce lot). Et on m'a déjà parlé du nouveau conseiller de la Maison Blanche, alors pas de surprise de ce côté là non plus.
    Pour le reste, ben comme tu dis, ça n'évoluera pas, sinon la série devra s'arrêter.

    Alors que quand j'ai découvert la série je me suis enfilé les trois premières saisons d'un coup...

    Mais bon, je dis ça, je sais que je finirai par tout regarder ;o)

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  12. Nunucherie, c'est le mot juste pour qualifier les allez-retours Foreman/13, House/Cuddy, Cameron/Chase... un peu gnan-gnan tout ça...

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  13. C'est vrai que cette saison n'est pas fameuse, mais en même temps je ne la trouve pas si mauvaise non plus. En fait Dr House ça commençait déjà à devenir nettement moins bien dans la deuxième, pleine de nunucheries avec son ex. La 3 ça passait mais même la 4, c'était un peu "poussif" par moment (voire grotesque).

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  14. Non non, la saison 5 n'est pas non plus le four de l'année, ça reste très regardable.

    Vrai qu'il y avait un côté grotesque dans la saison 4... c'était tellement exagéré... mais au moins on rigolait. Par rapport aux réflexions pseudo-existentielles de cette saison, aucun doute je préférais nettement les délires de la saison 4 !

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  15. assez dommage en effet cette saison 5. Peut-être justement parce qu'elle tente un changement ? Et moi les changements ça me perturbe. Je veux un Dr House immuable, son humanité me plaît, il ne faut pas qu'il vieillisse trop non plus ou alors en même temps que moi et j'apprécie de pouvoir m'endormir qq mn sans avoir le sentiment d'avoir rien loupé.

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  16. Ah bon, tu trouves que ça tente un changement, toi ? Où ça ??? :)

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  17. J'ai lu les commentaires précédents en diagonale vu que je regarde le doc en VF... J'en suis à l'épisode 11. Y a bien le 12 sur le PC mais je m'en garde un petit pour ce week-end :-) Peut-être est-ce parce que j'ai découvert la série il y a peu, mais je ne ressens pas cet effet de lassitude... Les épisodes se suivent et se ressemblent, certes, surtout avec l'immanquable moment vers la 35e minute où House, parlant à Wilson, regarde soudain dans le vide car il a enfin trouvé ze bon diagnostic... Mais je suis bon public (je regarde la Nouvelle Star le mardi soir alors c'est dire) :-))

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  18. Oui, c'est certain qu'avec une découverte plus récente la lassitude est forcément un peu moins marquée ^^

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  19. Alors là j'ai les boules, je commence à peine la première saison que la série est descendue (5ème saison donc) de partout. Quoique, en regardant la situation d'un autre angle je me demande si du coup je ne vais pas apprécier chaque épisode...on verra.

    Ceci étant dit quelle série ne flancherait pas au bout de 5 saisons ? Six feet under est l'exemple parfait de ce qu'il faudrait faire: savoir s'arrêter (et quelle fin pour la dite série).

    Mais le spectateur est roi donc pour peu qu'il se manifeste on lui concoctera une suite, peu importe la qualité il faut le nourrir.

    Enfin...il nous reste "les Sarkozy gèrent la France", si on prend en compte que la fin est prévue pour 2012 (que les addict' ne se manifestent pas...que les addict' ne se manifestent pas...que les addict' ne se manifestent pas...).

    Dom

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  20. C'est vrai que Sarkozy dirige la France est une des meilleures séries du moment : personnages hauts en couleurs, dialogues ciselés, et bien malin celui qui pourra dire comment s'achèvera la série (certains parlent déjà d'une prolongation jusqu'en 2017, mais ça n'a pas été confirmé).

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  21. Et merde...(pardon)

    Dom

    ps: bien vu le coup du diagnostic de la 32 ème minute, si ce n'est que maintenant je ne vois que ça :)

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  22. Bon, ça y est, j'en ai fini avec cette saison. Certainement pas la meilleure, mais les derniers épisodes ont le mérite d'apporter un petit quelque chose d'un peu plus intéressant.
    Certes, peu de choses nous indiquent qu'il pourrait y avoir un quelconque changement dans le personnalité de House (ou alors durant trois épisodes à la rentrée et basta, comme d'hab), mais je n'ai pas pu m'empécher de me trouver happé par cette fin, de la ressentir pleinement et de morfler, empli de frissons ... de rage de désespoir et de peur ou les trois, je sais pas.

    Par contre bizarrement, je trouve que la réalisation des épisodes a vachement évolué d'un niveau... formel. La fin du dernier épisode réussit à tout dire sans une parole c'est franchement pas mal joué.

    Bon... verdict en Septembre.

    PS: "le spoiler qui n'en est pas un mais que si quand meme...." Ben désolé, une fois l'épisode vu, SI, c'en était un! (et un mastard, meme.... :-/)

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  23. Dom >>> ah merde, désolé :-) mais bon, puisque tu es au début, tu pourrais compter le nombre d'épisodes où ça se passe comme ça (non ? ^^), je pense que la proportion doit être délirante...

    Guic' >>> remarque très juste sur l'évolution de la mise en scène depuis quelques épisodes (depuis celui en vue subjective, en fait). Faudrait voir si les réals n'ont pas changé...

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  24. bon dans la 6, greg se marie, s'achète une conduite et met en route un héritier (bang des jumeau !) et euh voilà bon c'est pas sûr que ça relancera l'intérêt non plus remarque mais va savoir ! pas taper, j'ai arrêté en fin de saison 3 je crois je m'ennuyais un peu (même si le personnage m'éclate toujours)

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  25. Ah ah... t'as raison, ce serait pas forcément mieux :-)

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  26. Thomas -> J'en suis à l'épisode 20 de la première saison et jusque là le diagnostic est confirmé pour chacun d'entre eux: ils ont le syndrome de Golb (oui donnons lui un nom qui en impose)!!

    En effet, entre la 32ème et la 38ème minute un rebondissement surgit systématiquement.

    Dom

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  27. :-)

    Si je me souviens bien, à partir de la saison 3 ils vont tenter de faire exploser le syndrome du Golb... ce sera juste un épisode sur deux ou trois, jusqu'à la saison 5 qui marque son grand retour :-)

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  28. Je dois être un peu sado puisque je tends des perches pour du spoil' en masse :D

    Dom

    ps: la fessée est un bon remède au spoil' parait-il...(je plaisante, sur la toile une réputation est si vite faite)

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