tag:blogger.com,1999:blog-5714161653136746956.post3735528122952476405..comments2024-03-11T20:19:54.806+01:00Comments on LE GOLB: Je suis une Célébrité, sortez-moi de Moi !Thomas Sinaevehttp://www.blogger.com/profile/06696892562470782252noreply@blogger.comBlogger17125tag:blogger.com,1999:blog-5714161653136746956.post-1052932322695536772022-09-18T19:34:37.166+02:002022-09-18T19:34:37.166+02:00Je te rassure, je n'adhère pas émotionnellemen...<b>Je te rassure, je n'adhère pas émotionnellement à ses projets non plus (même si dans l'ensemble je les trouve très sympas). Mais était-ce vraiment avec lui qu'on se connectait émotionnellement sur les albums de blur ? Au faîte de la gloire de blur, Albarn était plus souvent dans l'ironie, la satire sociale, le panache... que dans l'émotion. Coxon, quand enfin au bout de cinq albums il s'autorise à chanter une chanson, c'est "You're so Great" et on ne tape plus du tout dans le même registre. Une fois que tu sais que c'est SA chanson, tout comme "Tender", "Coffee & TV" ou "Battery in Leg" (meilleur titre d'un album sur lequel il ne joue même pas !), tu jettes tout de même un regard un peu différents sur les albums antérieurs du groupe (ceux sur lesquels les morceaux sont officiellement signés par les quatre), et un peu comme pour Lennon et Macca, tu devines assez facilement qui a réellement fait quoi.<br /><br />Tout ça pour dire qu'Albarn ne paraît dans le fond pas si différent aujourd'hui de ce qu'il était à l'époque. C'est le même mec cool et charismatique, un peu touche-à-tout, ouvert à toutes les influences, mais c'est certain qu'on ne peut pas attendre qu'il apporte dans ses projets actuels ce qu'il n'apportait déjà pas dans blur à l'époque.</b>Thomashttps://www.blogger.com/profile/02169204776896301392noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-5714161653136746956.post-49693626062572433112022-09-18T19:07:17.683+02:002022-09-18T19:07:17.683+02:00Beaucoup mieux, oui !<b>Beaucoup mieux, oui !</b>Thomashttps://www.blogger.com/profile/02169204776896301392noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-5714161653136746956.post-20680084950377014572022-09-18T17:29:15.726+02:002022-09-18T17:29:15.726+02:00Que deux albums solo ? C’est drôle comme j’étais c...Que deux albums solo ? C’est drôle comme j’étais certain qu’il en avait sorti bien davantage. Bon faut dire qu’il ne chôme pas vraiment. Et que l’on ne peut pas reprocher l’appétence d’Albarn à vouloir bien s’entourer et à s’enrichir (comme lorsqu’il s’en va au Mali) pour mieux retrouver (?) son « comparse » comme tu le dis. <br /><br />Mais je n’arrive pas à adhérer émotionnellement à ses projets : Gorillaz, The Good, the Bad & the Queen...je ne sais pas. Cela ne me laisse globalement pantois. Il y a toujours évidemment deux trois titres qui me séduisent mais, globalement, pas autant qu’un album – même sommaire- de blur. Probablement parce que j’aime, comme tu le soulignes, la complémentarité entre Albarn et Coxon. <br /><br />Enfin, si tu me demandais - alors que tu ne m'as rien demandé ^^- de choisir entre Urban Hymns et l’album éponyme de blur, j’aurais du mal à me décider;)Jeoffroyhttps://placideboucan.com/noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-5714161653136746956.post-28606798034490436972022-09-16T15:23:11.630+02:002022-09-16T15:23:11.630+02:00Concernant ce que tu dis sur Albarn, il y aurait p...<b>Concernant ce que tu dis sur Albarn, il y aurait presque un article entier à écrire tant son cas me paraît particulier :<br />- il semble avoir conservé une approche très collective de la musique : après son groupe il a surtout fait d'autres groupes (dont un qui a eu autant de succès que le premier), des tonnes de collaborations, et finalement très peu d'albums solo (deux en vingt ans et ils ne sont pas avares en featurings divers et variés).<br />- paradoxa : son album le plus "solo" est peut-être bien Think Tank, où en l'absence d'un Coxon parti en désintox il prend toute la direction artistique sur ses épaules, et qui annonce bien plus la suite discographique d'Albarn que celle de blur (ok, il n'y a eu qu'un album depuis mais la touche de Coxon est partout sur The Magic Whip).<br />- il s'est émancipé de blur en grande partie grâce à Gorillaz... dont le premier album est en réalité un album de blur sous pseudo avec Dan The Automator à la prod (enfin, ce n'est pas l'histoire officielle, mais les témoignages sont nombreux... il me semble que c'est Paul Weller qui enregistrait au même moment dans le studio voisin qui les avaient outtés dans une interview...)<br />- blur reposait sur un fascinant attrait des contraires entre ses deux meneurs, mais la personnalité pour le moins "particulière" de Graham Coxon a bien contribué à laisser Albarn s'accaparer les spotlights et toute l'aura posthume du groupe... alors que dans tous les autres contre-exemples de ce type ça s'est plutôt fait au corps défendant des anciens partenaires... vas dire à Johnny Marr que Morrissey est un génie et l'âme des Smiths, pas sûr que tu repartes sur tes deux jambes ^^<br /><br />Bref pour répondre à ta question, je pense qu'Albarn <i>à la fois</i> n'a jamais eu de comparse aussi parfait que Graham Coxon <i>et</i> qu'il a largement gagné le droit d'être considéré comme un artiste à part entière. Un peu comme Bryan Ferry ou Morrissey, quoi (mais ne va pas le dire à Johnny Marr, ça reste entre nous ;-))<b><br />Thomashttps://www.blogger.com/profile/02169204776896301392noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-5714161653136746956.post-89407565459471824542022-09-16T15:19:39.514+02:002022-09-16T15:19:39.514+02:00Ta dernière remarque est exacte, c'est même ma...<b>Ta dernière remarque est exacte, c'est même marrant que je n'aie pas du tout pensé à emmener l'article là-dessus (sans doute parce que The Verve était avant tout le groupe d'un seul mec. Pour rester dans les exemples que tu cites, Oasis et blur reposaient sur des dualités très fortes, Radiohead lui est un groupe complet dont l'équilibre tient à chaque membre.) Donc oui, dans l'absolu, sur la question du succès post-groupe, tu as raison, je connais assez peu de contre-exemples passé un certain seuil de notoriété.<br /><br />Mais le succès n'est qu'une partie de l'équation, dans le fond je ne l'évoque que parce que c'est quelque chose qui a toujours été très important pour Ashcroft lui-même. Il aurait aussi bien pu devenir un de ces types qui, effectivement, n'ont jamais eu autant de succès en solo qu'en groupe, mais dont on respecte malgré tout le travail, voire l'admire à l'occasion. Et pour le coup, les exemples sont innombrables. Rien que pour rester dans la britpop : Jarvis Cocker, exemple d'autant plus parlant que Pulp est un groupe qui a eu environ douze-mille membres et dont il a toujours été le seul unique moteur. Oui, beaucoup plus de gens préfèreront aller voir Pulp reformé l'an prochain (ce qui en tenant compte de la phrase précédente n'a pourtant aucun sens), mais tous ses disques solo ont été accueilli avec chaleur et avec un plaisir non-feint par les amateurs, même les pas terribles, parce que c'est lui, parce qu'on l'adore et qu'on sait qu'il y aura toujours un truc à prendre sur un disque auquel il contribue. Ashcroft, lui, semble à peine avoir accumulé une fan-base modeste (alors que The Verve a eu deux fois plus de succès), et sa personnalité extrêmement froide et distante a certainement joué là-dedans, d'où... eh bien tout ce que je dis l'article, et l'importance pour moi de prendre le temps de parler de The Verve, et plus spécialement de leurs premiers albums moins connus, manière de souligner que dès le départ, il y avait un hiatus entre ce que l'on percevait de lui et ce qu'il proposait réellement.<br /><br />C'est vrai que "Cast no Shadow" est dédiée à Ashcroft, je l'avais oublié (probablement parce que je n'aime pas du tout ce morceau). Je n'avais jamais envisagé qu'il puisse être SUR Ashcroft, mais maintenant que tu le dis je trouve que son texte résonne parfaitement avec cet article. Un homme "qui essaie de comprendre ce qu'il a entre les mains", "écrasé par le poids de tout ce qu'il tente de dire"... tout est dit ou presque. J'ai toujours pensé que Nono était bien meilleur parolier que lui-même ne le disait ;-)</b>Thomashttps://www.blogger.com/profile/02169204776896301392noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-5714161653136746956.post-79504495170662218222022-09-15T21:02:43.368+02:002022-09-15T21:02:43.368+02:00Je parlais bien sûr de "la génération des gen...Je parlais bien sûr de "la génération des gens qui l'ont porté aux nues". C'est mieux comme ça ? ;)Red Dirt Girlnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-5714161653136746956.post-22156568276854367192022-09-15T20:58:43.336+02:002022-09-15T20:58:43.336+02:00(Alors désolé pour la boulette ci-dessus. Et je fa...(Alors désolé pour la boulette ci-dessus. Et je fais partie des deux trois personnes ^^)<br /><br />Pour moi, mais cela reste évidemment subjectif c’est évident, The Verve est le groupe d’un album. Ce qui fait qu’Ashcroft est le type d’un album par définition (?). Le premier ne m’a pas laissé un souvenir impérissable, le troisième je l’ai écouté avec autant d’enthousiasme égard à l’attente pour m’en détacher rapidement. Urban Hymns pour moi est un quasi sans fautes ; autant Bitter sweet oui mais The drugs don’t work moins. Y a plein de morceaux dingues (Catching the butterfly, Space and time, Lucky man bien sûr mais aussi Weeping willow) et un final (Come on) que j’ai mis longtemps à apprécier égard aux chansons forcément très pop (britpop comme on disait à l’époque). En fait, la quasi totalité du disque est pour moi une suite de single en puissance. Calibré mais ultra mélodieux. Il faut se rappeler qu’au milieu de la guéguerre entre Oasis et blur, The Verve tirait plutôt bien son épingle au milieu de la zizanie superficielle. D’autant que la même année que Urban Hymns, Radiohead sortait son OK Computer (qui boxe dans une autre catégorie mais, tout de même, les anglais avaient le vent en poupe). <br /><br />Ashcroft, c’est aussi/surtout une trogne. Une gueule de dingue à laquelle Oasis rend hommage sur Cast no shadow je crois. Ce qui ajoute de l’eau au moulin de ton article. Le peu, en effet, que j’ai entendu de celle d’Ashcroft n’était pas dingue et ne m’a pas du tout donné l’envie de redonner moult chances; c’est, une fois encore, subjectif. <br /><br />Tout cela pour dire – et histoire de relancer un peu le débat- que j’ai l’impression (je me trompe peut-être/sûrement) que d’avoir un frontman d’un groupe d’une renommée importante réellement transformer l’essai, pleinement, avec une carrière solo (alors que c’est peu ou prou l’aspiration de chaque artiste) est rare. Faut un alignement de planètes absolument dingues pour réussi sur ces deux plans. Honnêtement, Damon Albarn est-il aussi bon tout seul qu’en groupe ? Liam Gallagher ? Noël Gallagher? Si Chris Martin sortait un album solo, aurait-on vraiment envie de l’écouter par envie plus que par curiosité ? Chacun répondra comme il souhaite, probablement par la négative;) Tout cela pour dire que, toute idée d’énigme mise à part, être le mec de The Verve – et d’un album légendaire oui - est tout de même quelque chose de plutôt pas mal sur un CV ;). Jeoffroyhttps://placideboucan.com/noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-5714161653136746956.post-26019001616596739992022-09-15T20:46:55.994+02:002022-09-15T20:46:55.994+02:00Ravi de te déculpabiliser, par contre n'exagèr...<b>Ravi de te déculpabiliser, par contre n'exagère pas non plus, je ne suis pas de la génération de Richard Ashcroft... le mec a la cinquantaine, hein ;-)</b>Thomashttps://www.blogger.com/profile/02169204776896301392noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-5714161653136746956.post-50768490186053336022022-09-15T20:45:19.079+02:002022-09-15T20:45:19.079+02:00Hé oh, doucement, hein. Jeoffroy toi-même, d'a...<b>Hé oh, doucement, hein. Jeoffroy toi-même, d'abord.</b>Thomashttps://www.blogger.com/profile/02169204776896301392noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-5714161653136746956.post-73204644713217984862022-09-15T20:44:00.081+02:002022-09-15T20:44:00.081+02:00Richard Ashcroft m'est aussi une énigme, comme...Richard Ashcroft m'est aussi une énigme, comme tu le dis si joliment. Je ne pensais pas qu'il l'était également pour les gens de sa génération. Assez contente de savoir que ce n'est pas moi qui ai un problème ;)Red Dirt Girlnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-5714161653136746956.post-89422020867523822302022-09-15T20:18:11.959+02:002022-09-15T20:18:11.959+02:00JeoffroyJeoffroyAnonymousnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-5714161653136746956.post-33146073809798643522022-09-15T19:51:05.687+02:002022-09-15T19:51:05.687+02:00Oui.<b>Oui.</b>Thomashttps://www.blogger.com/profile/02169204776896301392noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-5714161653136746956.post-1063576765515411292022-09-15T19:48:47.064+02:002022-09-15T19:48:47.064+02:00J'aime bien la manière dont tu présentes ta th...<b>J'aime bien la manière dont tu présentes ta théorie mais j'ai bien peur qu'elle ne soit totalement démentie par les faits. Ashcroft n'a jamais cessé de courir après son succès (désormais envolé). Dans le cas contraire, il ne ferait pas autant de promo pour ses albums (dont chacun est présenté par la presse UK comme celui dans grand comeback), ne se serait pas fait le complice de vingt-cinq compiles de The Verve, idem pour les rééditions 23 CDs vendus à des tarifs plus que prohibitifs, n'aurait pas reformé ce même groupe, n'aurait jamais publié un truc comme Acoustic Hymns, ne ferait pas des concerts évènementiels dans lequels le seul Urban Hymns représente 50 % du répertoire... etc. Regarde ses dernières set-lists et dis-moi qu'on ne sent pas que la troisième reformation de The Verve va arriver...<br /><br />Richard Ashcroft ne fait pas partie pour moi de ces artistes qui ont fui le succès volontairement et, malheureusement pour lui, est bien dans le camp des has-been vivant sur un passé plus ou moins glorieux. Il n'est même pas un has-been sympathique, du genre victime malheureusement des mœurs de son temps : il est un has-been qui a totalement mérité son sort et n'a strictement rien fait pour l'éviter.<br /><br />Là où tu n'as pas complètement tort, c'est qu'effectivement il y a des leviers qu'il n'a pas activés. Il est très ami avec les mecs de Coldplay, soit encore aujourd'hui le plus "grand" groupe du monde. Ce serait facile d'essayer de surfer sur ce lien, ce qu'il n'a jamais tenté de faire à ma connaissance. Idem pour les fragins Gallagher dans le fond, qui conservent une énorme cote de popularité dans leur pays. Il a fallu plus de 20 ans et un saré paquet de revers pour qu'il consente à (re)faire un truc avec l'un d'eux. Mais ça, c'est parce qu'en plus d'être un has-been, c'est un has-been mégalo qui ne veut être connu que pour et par lui-même ;-)</b>Thomashttps://www.blogger.com/profile/02169204776896301392noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-5714161653136746956.post-80402321704429061562022-09-15T19:43:11.151+02:002022-09-15T19:43:11.151+02:00Trop gentil ? Mais n'est pas plutôt la fan qui...<b>Trop gentil ? Mais n'est pas plutôt la fan qui sommeille en toi qui est trop dure ? (pas facile avec lui, hein ? tout est question d'équilibre...)<br /><br />Personnellement je ne trouve pas que ses albums à partir de These People méritent plus de tomates pourries que ceux parus avant lui. Son plus consternant reste pour moi, et de loin, United Nations, avec son concept complètement pété et sa prod tellement lustrée qu'on pourrait se contempler dedans (ce qu'il ne manque bien sûr pas de faire) (merde, encore une bonne punchline gâchée dans un commentaire). En comparaison, These People fait presque figure de retour à la normale. Si on oublie l'ouverture où on frôle la tétanie en croyant que le mec a décidé de se mettre à la synth-pop, c'est même quasiment son disque le plus classique et "thevervien".<br /><br />Natural Rebel me semble tout à fait écoutable également. En musique de fond, disons.</b>Thomashttps://www.blogger.com/profile/02169204776896301392noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-5714161653136746956.post-38212630689976537662022-09-15T18:46:53.071+02:002022-09-15T18:46:53.071+02:00Non.Non.Harpoonnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-5714161653136746956.post-11941140255074096252022-09-15T08:30:52.232+02:002022-09-15T08:30:52.232+02:00Super titre :)
Sur le fond j'ai une analyse a...Super titre :)<br /><br />Sur le fond j'ai une analyse assez différente. Je pense que Richard Ashcroft ne cherche plus vraiment le succès. C'était son seul moteur à ses débuts mais une fois l'objectif accompli, il ne savait plus où aller. Alors il a commencé à partir dans tous les sens en pensant qu'il était suffisamment connu pour être suivi. Mais pour toutes les raisons que tu expliques dans le passage sur la fin de la britpop, ça n'a pas marché. Et là il s'est aperçu qu'il vivait très bien sans le succès. Enfin, c'est ainsi que je le vois!Lucie C.noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-5714161653136746956.post-87166085236691235442022-09-15T08:24:42.828+02:002022-09-15T08:24:42.828+02:00Excellent texte (le meilleur depuis ton 'retou...Excellent texte (le meilleur depuis ton 'retour'.)<br /><br />J'adore Richard Ashcroft. J'ai acheté tout ses disques jusqu'à These People. Pourtant, je souscris à presque tout ce que tu écris.<br />Je te trouve même trop gentil par moments. Moi, je l'adore, mais je ne sauve pas grand chose, dans ses trois derniers. These People était si mauvais, qu'il a marqué, pour moi, la fin d'une passion vieille de 20 ans.<br />C'est difficile de voir ce qu'il est devenu, quand on se rappelle ce qu'il a été, et, surtout, ce qu'il aurait pu devenir. Quel potentiel gâché...<br />Je n'y avais pas pensé en ces termes : c'est une énigme, mais, c'est vrai, tu as raison, c'est une énigme. On se demande ce qui s'est passé (dans sa tête.)<br />Lilnoreply@blogger.com